15 janvier 2008
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Pour la première fois depuis notre départ, nous optons pour une option facile. Pour nous rendre au Népal et rejoindre la ville de Pokhara, au pied des Annapurna, nous passons par une agence qui nous propose un package : bus jusqu’à la frontière, hôtel puis bus le lendemain pour rejoindre Pokhara. Pour être complètement honnête, je dois avouer que ce n’est pas ce que nous voulions au départ. A la base, on était prêt à se débrouiller tous seuls avec les bus locaux. Mais notre chauffeur d’auto-rickshaw, à qui nous avions clairement demandé de nous déposer à la gare routière, nous a laissé à un croisement en nous disant d’un geste « c’est là-bas les bus pour le Nepal ». 100 mètres plus loin, on se fait accoster par un type qui tient une agence (elle est d’ailleurs indiquée dans le guide Lonely Planet) et qui nous propose ce package. Au début, on râle et lui demande où sont les bus locaux… à la gare routière, évidemment ! Finalement, on se laisse tenter, ça va nous faire du bien de nous laisser un peu guider. Et en plus comme on n’avait pas l’air décidé, il a baissé le prix ;-)
Sur le papier tout à l’air ok : départ à 8h30 arrivée à la frontière à 17h. Chambre avec lit double dans une guesthouse côté népalais, et le lendemain, départ à 8h30 et arrivée à 15h à Pokhara. Le tout dans un « tourist bus » plus confortable que les bus locaux.
Pas besoin de vous faire un dessin, ça ne s’est pas tout à fait passé comme ça… Le « tourist bus » est à peine plus confortable qu’un bus local… mais la peinture extérieure est nettement plus propre ;-) . On part à 10h00 pour s’arrêter 4 à 5 km plus loin au bord de la route. Apparemment on attend une autorisation pour circuler (??!!). 1h plus tard, on part enfin sur une route vraiment défoncée et on arrive complètement fourbus à la frontière... à 21h. Et là, je crois qu’on peut décerner la palme de la guest house la plus pourrie que nous ayons eu (tous nos précédents voyages compris !). Pas de place autour du lit pour poser nos affaires, pas de fenêtre, des draps plus que crasseux et des toilettes à la turc dans un état que je vous laisse imaginer. J’ai passé toute la nuit la tête enfouie dans le t-shirt de Renaud pour tenter d’échapper à l’odeur pestilentielle. Pour ceux qui seraient intéressés par ce charmant hôtel, il s’agit de la Nepal Guest House. Le lendemain, notre bus ne décolle pas à 8h, mais plutôt à 6h30 (on a quand même été averti !). C’est un bus vraiment local, cette fois, qui s’arrête tous les quarts d’heure pour faire monter des gens, décharger le toit etc.
L’arrivée à Pokhara promettait d’être sublime : au pied des Annapurnas, la ville est nichée au bord d’un lac et jouit d’une vue exceptionnelle sur les plus hauts sommets du monde. Evidemment, nous c’est le brouillard qui nous a accueillis à bras ouverts… argh !!! Enfin, comme dit Scarlet dans « Autant en emporte le vent » : « demain sera un autre jour ».
On vient d’arriver à Pokhara, il est 17h… Heureusement tout le trajet, et notamment côté népalais, s’est fait sur une route magnifique, à flanc de falaise (ce qui m’a valu quelques frayeurs d’ailleurs vu que la route est très sinueuse et pas très large…).
On a un programme chargé pour les prochains jours : un trek pas trop dur, peut-être du parapente, des excursions etc.
Une dernière chose : les connexions internet reviennent assez chers ici, donc on ne se connectera pas tous les jours. Mais on vous promet d’écrire quand même :-)
le bus dans lequel nous venons de passer une dizaine d'heures...
Sur le papier tout à l’air ok : départ à 8h30 arrivée à la frontière à 17h. Chambre avec lit double dans une guesthouse côté népalais, et le lendemain, départ à 8h30 et arrivée à 15h à Pokhara. Le tout dans un « tourist bus » plus confortable que les bus locaux.
Pas besoin de vous faire un dessin, ça ne s’est pas tout à fait passé comme ça… Le « tourist bus » est à peine plus confortable qu’un bus local… mais la peinture extérieure est nettement plus propre ;-) . On part à 10h00 pour s’arrêter 4 à 5 km plus loin au bord de la route. Apparemment on attend une autorisation pour circuler (??!!). 1h plus tard, on part enfin sur une route vraiment défoncée et on arrive complètement fourbus à la frontière... à 21h. Et là, je crois qu’on peut décerner la palme de la guest house la plus pourrie que nous ayons eu (tous nos précédents voyages compris !). Pas de place autour du lit pour poser nos affaires, pas de fenêtre, des draps plus que crasseux et des toilettes à la turc dans un état que je vous laisse imaginer. J’ai passé toute la nuit la tête enfouie dans le t-shirt de Renaud pour tenter d’échapper à l’odeur pestilentielle. Pour ceux qui seraient intéressés par ce charmant hôtel, il s’agit de la Nepal Guest House. Le lendemain, notre bus ne décolle pas à 8h, mais plutôt à 6h30 (on a quand même été averti !). C’est un bus vraiment local, cette fois, qui s’arrête tous les quarts d’heure pour faire monter des gens, décharger le toit etc.
L’arrivée à Pokhara promettait d’être sublime : au pied des Annapurnas, la ville est nichée au bord d’un lac et jouit d’une vue exceptionnelle sur les plus hauts sommets du monde. Evidemment, nous c’est le brouillard qui nous a accueillis à bras ouverts… argh !!! Enfin, comme dit Scarlet dans « Autant en emporte le vent » : « demain sera un autre jour ».
On vient d’arriver à Pokhara, il est 17h… Heureusement tout le trajet, et notamment côté népalais, s’est fait sur une route magnifique, à flanc de falaise (ce qui m’a valu quelques frayeurs d’ailleurs vu que la route est très sinueuse et pas très large…).
On a un programme chargé pour les prochains jours : un trek pas trop dur, peut-être du parapente, des excursions etc.
Une dernière chose : les connexions internet reviennent assez chers ici, donc on ne se connectera pas tous les jours. Mais on vous promet d’écrire quand même :-)
le bus dans lequel nous venons de passer une dizaine d'heures...
