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Peu de gens nous ont vraiment questionnés sur les raisons « profondes » de notre voyage. Nous y avons réfléchi un peu (quand même…) et après réflexion
on peut dire qu’on part...
- pour découvrir le monde, évidemment
- pour le vivre, surtout
- pour connaître et comprendre les autres
- pour mieux revenir et apprécier ce qu’on a
- pour se poser les vraies questions et ne surtout pas avoir de réponses
Et cette idée…elle vient d’où ?
On pourrait dire que c’est le rêve de toute une vie, comme ces jeunes qui font starac’ et qui disent : « depuis tout petit je ne vis que pour ça… ». Mais en fait… pas du tout.Vous avez déjà joué à vous poser des questions qui ne mènent à rien du type « qu’est-ce que tu ferais si tu gagnais au loto ? » ou bien « si tu ne pouvais emmener qu’un seul objet sur une île déserte, lequel tu prendrais ? » ou encore « tu préfèrerais quoi : manger des limaces crues ou boire de la bave de chameau ? »…?
Nous on a joué à « t’irais où si tu n’avais plus qu’un voyage à faire ? ».
Et là c’est le drame : Renaud veut aller en Chine, moi je veux voir le Pérou, le Botswana et la Jordanie (je sais, on avait dit 1 mais c’était trop dur !). La discussion est animée les arguments fusent. Puis le four sonne, la pizza est prête et l’affaire se conclut par une petite phrase jetée entre 2 lardons : « j’vois pas comment faire, à part faire un tour du monde… ».
Ensuite on n’a rien compris, tout s’est enchaîné très vite. Par petites touches, les questions se sont succédées, d’abord sous forme de jeu, sans enjeu, puis avec de plus en plus d’enthousiasme : et si on faisait un tour du monde, on irait où ? on partirait quand ?.
Et lorsqu’un dimanche pluvieux de fin novembre à la question « ça coûterait combien ? » on s’est aperçu qu’en faisant quelques (gros) efforts c’était jouable, la question fatidique s’est imposée : cap ou pas cap ? Ben… cap !
- pour découvrir le monde, évidemment
- pour le vivre, surtout
- pour connaître et comprendre les autres
- pour mieux revenir et apprécier ce qu’on a
- pour se poser les vraies questions et ne surtout pas avoir de réponses
Et cette idée…elle vient d’où ?
On pourrait dire que c’est le rêve de toute une vie, comme ces jeunes qui font starac’ et qui disent : « depuis tout petit je ne vis que pour ça… ». Mais en fait… pas du tout.Vous avez déjà joué à vous poser des questions qui ne mènent à rien du type « qu’est-ce que tu ferais si tu gagnais au loto ? » ou bien « si tu ne pouvais emmener qu’un seul objet sur une île déserte, lequel tu prendrais ? » ou encore « tu préfèrerais quoi : manger des limaces crues ou boire de la bave de chameau ? »…?
Nous on a joué à « t’irais où si tu n’avais plus qu’un voyage à faire ? ».
Et là c’est le drame : Renaud veut aller en Chine, moi je veux voir le Pérou, le Botswana et la Jordanie (je sais, on avait dit 1 mais c’était trop dur !). La discussion est animée les arguments fusent. Puis le four sonne, la pizza est prête et l’affaire se conclut par une petite phrase jetée entre 2 lardons : « j’vois pas comment faire, à part faire un tour du monde… ».
Ensuite on n’a rien compris, tout s’est enchaîné très vite. Par petites touches, les questions se sont succédées, d’abord sous forme de jeu, sans enjeu, puis avec de plus en plus d’enthousiasme : et si on faisait un tour du monde, on irait où ? on partirait quand ?.
Et lorsqu’un dimanche pluvieux de fin novembre à la question « ça coûterait combien ? » on s’est aperçu qu’en faisant quelques (gros) efforts c’était jouable, la question fatidique s’est imposée : cap ou pas cap ? Ben… cap !